Najia, Ou LApprentissage De LAdultère (2Ème Partie)
La nuit avait été très longue. Mouloud, mon adorable pirate, sétait montré à la hauteur des promesses quil mavait faites la veille au téléphone. Cétait vraiment un super coup : vigoureux et infatigable. Il mavait fait découvrir le monde merveilleux de lérotisme. Un monde que je naurais jamais connu sans lui. Jusque là le sexe ne représentait presque rien pour moi. Je ne me rappelais pas avoir eu auparavant de vrais besoins sexuels : de ces besoins qui vous submergeaient complètement et qui simposaient à vous à toutes heures du jour et de la nuit. De ces besoins qui ne pouvaient trouver de satisfaction que dans les bras et sous les coups de boutoir dun homme ; un vrai. Pas dun mari. Et la satisfaction des désirs érotiques qui mobsédaient et menvahissaient depuis la nuit dernière, ne pouvait provenir que dune relation adultère. Peut-être parce que je connaissais trop mon mari, je ne pensais pas que je pouvais avoir autant de jouissance et de plaisir avec lui. Même en admettant quil soit aussi bien monté que Mouloud et quil ait les même capacités et compétences érotiques que mon amant du moment, ce qui est loin dêtre le cas! Je crois que cétait aussi parce que jétais dans une situation de cocufiage de mon mari - acceptée et assumée par lui - que je me sentais transportée dans ce monde merveilleux que je venais de découvrir. Bien entendu, les compétences en matière de sexe de celui qui venait de mouvrir les portes de ce nouveau monde, étaient la raison principale de ma nouvelle passion pour lérotisme. Javais une vingtaine dannées de plus que Mouloud, mais en matière damour, jétais une vraie novice, comparée à lui qui, à trente ans à peine, avait le comportement dun maître. Un maître es-érotisme. Et moi, je me découvrais - au cours de cette première nuit passée à me faire tirer dans toutes les positions et à travers tous mes trous - une âme de chienne soumise à la volonté du maître du moment.
Parce que Mouloud - et plus tard Rachid qui, sans me le dire explicitement, mavait fait comprendre quil apprécierait que joffre mon corps à dautres hommes nétait pas du genre possessif et exclusif.
Pour en revenir à cette première nuit dadultère, je dois dire que jen avais eu pour mon argent.
Sans avoir prémédité quoi que ce soit, javais fait cette nuit là et toute la matinée du lendemain connaissance avec toutes les facettes de lérotisme. Je suis totalement incapable de décrire toutes les sensations parfois douloureuses que je connus au cours de ces heures passées à me faire tirer par limmense membre de Mouloud.
Après avoir pris une douche rapide pour me débarrasser de tout le sperme dont mon corps était totalement enduit, avoir changé de tenue (la nouvelle était toute aussi coquine que la première) et préparé un en cas pour nous sustenter, nous allâmes directement dans la chambre à coucher pour poursuivre nos ébats. Mouloud, avait fait preuve dune vigueur et dune résistance à vraiment extraordinaires. A ce jour, je nai pas encore rencontré parmi tous les amants qui lont suivi dhommes aussi résistant que mon pirate. Et je ne parle pas de son immense membre ! Il a tout détruit sur son passage : ma gorge, qui ma fait mal des journées entières (javais du mal à parler, tant il avait pesé sur mes cordes vocales au cours de la fellation passée) ; ma vulve quil avait élargie au-delà de tout ce que je pouvais penser ; et surtout, mon anus, quil avait inauguré et
dynamité !
Cest, aujourdhui encore, le souvenir de cette folle nuit qui ma le plus marqué : ma première sodomisation. Après avoir mangé rapidement dans la cuisine - javais préparé en quelques minutes un steak et une salade nous rejoignîmes la chambre à coucher.
Arrivé au pied du grand lit - notre lit conjugal à Rachid et à moi Mouloud qui était derrière moi, mattrapa par la taille pour me coller contre son corps. Il me susurra à loreille :
- Je vais maintenant tenculer ! Je vais te défoncer le cul ! Je vais te faire mal ! Je vais te faire hurler de douleur et de plaisir !
Les mots crus quil prononçait me procuraient détranges sensations : des picotements au niveau du bas-ventre et sur le bout de mes seins. Je métais remise à couler. Je métais arrêtée au bord du lit et je métais plaquée contre le corps de Mouloud, qui frottait son pubis contre le bas de mon dos. Il était beaucoup plus grand que moi et je sentais son manche, dressé et dur comme du bois, frémir contre le bas de ma colonne vertébrale. Il enleva une de ses mains de ma taille et lenvoya semparer de mon sein droit, quil se mit à presser et à caresser. Mon excitation, déjà très forte, commençait à devenir insupportable. Javais mal au bas ventre. Il me fallait une pénétration immédiate pour me calmer. Mais malgré cela, je ne dis rien : jattendais la suite. Une suite que jappréhendais, mais que jattendais avec impatience. Limpatience de découvrir de nouvelles sensations. Je sentais le souffle chaud de mon amant sur mon cou. Et je lentendais mannoncer, dans un mélange de kabyle et darabe, ce qui mattendait.
- Akmeqough essdhefir ! En-nikek melour ! Amerzagh akerkour-im ! En-kasserlek gaârek ! Akem felqagh ! En-wedjaâk ! (Je vais te niquer par derrière ! Je vais te démolir le cul ! Je vais téclater! Je vais te faire mal !)
Il mannonçait que jallais passer un mauvais moment et que beaucoup de douleur mattendait.
Mouloud qui continuait de me susurrer ses mots crus à loreille, mattrapa par la taille pour mindiquer la position quil voulait que je prenne. Il me fit mettre à quatre pattes en travers du lit, les hanches remontées au maximum pour être à la hauteur de son engin. Je tournais la tête pour essayer dapercevoir ce quil était entrain de faire : il était resté debout au bord du lit, le sexe dressé, tel un sabre menaçant. Il voulait me tirer debout ! Je le voyais qui contemplait le spectacle impudique quil avait sous les yeux : jétais là devant lui, le cul en lair, offert à sa concupiscence. Au bout de quelques secondes, je le vis qui tendit sa main droite vers mes fesses.
Et à partir de là, tout en moi sombra : jétais tombée dans un autre monde. Javais enfoncé ma tête profondément dans un oreiller et je métais mise à attendre. Attendre, écouter et sentir ce qui allait advenir. Tout mon être était tendu et attendait ! Une attente, en même temps douloureuse et délicieuse !
Je sentis une main calleuse et ferme écarter mes fesses pour dégager la rondelle de mon anus. Une rondelle très serrée, mais que je sentais palpiter (de peur ou de désir, je ne savais pas trop).
Mouloud ne se pressait pas : il admirait le spectacle quil avait sous les yeux : il avait une vue imprenable sur les grandes lèvres de ma chatte. Il voyait que je coulais comme une fontaine. Je sentis deux doigts qui écartèrent mes grandes lèvres et qui plongèrent à lintérieur du vagin.
chatte, et quil allait me tirer par là. Javais tout faux ! Il était seulement entrain de ramasser le plus de cyprine possible pour essayer de lubrifier mon anus. Je sentis, en effet, ses doigts qui enduisaient lentrée de mon anus avec le liquide quils venaient de ramasser. Ils sy reprirent à plusieurs fois, jusquà ce que je les sentis qui pénétrèrent - difficilement - à lintérieur du rectum. Ils allaient et venaient dans le boyau et essayaient délargir lanneau pour faciliter la pénétration du monstre qui attendait impatiemment son tour pour occuper la place.
Mouloud se positionna derrière moi, prit son engin dans une main et plaça le gland au centre de lanneau. Je sentis immédiatement la dureté du gland et son diamètre trop grand pour pouvoir pénétrer facilement à lintérieur de mon rectum. Je savais quil allait me faire atrocement mal. Il agrippa mes hanches avec ses deux mains et je sentis quil exerçait une poussée dabord légère, puis de plus en plus puissante, face à la résistance quopposait lanneau trop étroit. Le bout du gland finit par pénétrer légèrement. Je le sentis ressortir. Je devinais que Mouloud cherchait à le lubrifier encore plus, pour lui permettre une pénétration plus aisée. Je lentendis qui crachait dans sa main et je devinai quil senduisait le manche avec sa salive.
Et effectivement moins dune seconde après, je sentis la menace revenir sur mon anneau, qui était resté dans la même position dattente. Mouloud refit une deuxième tentative pour faire pénétrer le gland à lintérieur. La poussée de ses hanches était plus forte. Le gland pénétra presque totalement. Il avait encore du mal à dépasser le sphincter. Je sentis les énormes paluches de mon maître agripper plus fermement mes hanches et tirer brutalement sur ses bras. La douleur que je ressentis en ce moment était la pire des douleurs que javais connues dans ma vie. Javais ressenti mon anneau sétirer, sétirer encore, pour atteindre le maximum de son élasticité. Et puis, il lâcha et se déchira, provoquant cette douleur atroce que je ressentis.
- Aie !!! Bellââqel ! Doucement ! Kessartli gaâri ! Tu mas éclaté le cul ! Noublie pas que je suis vierge de ce côté !
Mouloud fit celui qui navait pas entendu. Il ne prêta aucune attention à mes protestations et continuait de pousser très fort, de manière à aller jusquau fond de mon boyau. Ce ne fut que quand son pubis vint cogner contre mes fesses quil arrêta de pousser sur ses hanches. Mais même à ce moment-là, il ne sarrêta pas pour permettre à la douleur de se calmer. Il fit refaire à son engin le chemin inverse jusquà lentrée de mon anus, quil ne dépassa pourtant pas. Il entreprit un furieux va-et-vient, qui me fit hurler de douleur. Et malgré cela, malgré le mal atroce quil
provoquait en moi, je ne voulais pas quil sarrêtât. Je voulais quil continue. Je ressentais du plaisir à avoir mal ! La sensation était vraiment bizarre: douleur et plaisir en même temps ! Mouloud continuait de pilonner mon cul en poussant des han de bûcheron. Il prenait son pied et me le faisait sentir en accélérant ses coups de boutoir et en soliloquant de manière presque inaudible avec des bouts de phrases en kabyle, arabe et français, qui indiquaient tout le plaisir quil prenait.
- Achhal yelha ou khouzzidhim ! Akhouzzidh ajdhidh ! Achha mlih ! En-hab en-nik en-nsa melour ! En-hab en-kessar ! Dhel djeneth ! Dhel djeneth bou bouchiw ! (Comme ton cul est délicieux ! Un cul tout neuf ! Comme cest bon ! Jadore niquer les femmes par derrière ! Jadore démolir ! Cest le paradis ! Cest le paradis pour mon zob !)
Et moi je continuais de crier de douleur à chacun de ses assauts. Mais mes cris devenaient de plus en plus faibles et se transformaient progressivement en gémissements, dans lesquels se mêlaient plaisir et douleur. Cest le moment que choisit ce diable dhomme pour me faire connaître une nouvelle sensation. Il lança sa main droite vers ma chatte et, après quelques secondes de réglage, y fit pénétrer deux doigts pour me masturber en même temps quil continuait de menculer. Quelle
sensation ! Je ne pus mempêcher de hurler un « Ouiii ! » retentissant, pour faire savoir à mon maître que jaimais ce quil me faisait. Je voulais faire durer cette nouvelle sensation de plaisir le plus longtemps possible. Je voulais même en, accroître lintensité en bougeant mes hanches de manière à accompagner et les coups de boutoir du zob dans mon cul, et le mouvement de ses doigts dans sa chatte. Je me mis même à lâcher des bribes de phrases crues, qui en fait nétaient destinées quà accroitre lintensité du plaisir que jétais entrain de prendre.
- Zid ! Ma tahbesch ! Achhal mlih ki et-nikni hakdha melour ou ethekli saouti ! Achhal the sneddh atseqouddh ! Achhal yelha oubouchikh ! (Continue ! Ne tarrête pas ! Cest merveilleux dêtre enculée et masturbée en même temps ! Comme tu sais niquer ! Comme ton zob est merveilleux !)
Mouloud était le Diable en personne ! Il était entrain de me faire adorer la sodomisation ! Jétais maintenant sure de ne plus pouvoir men passer. Je sentais que jallais avoir un orgasme vraiment exceptionnel. Dune intensité que je navais pas encore atteinte jusque là. Et pourtant, il mavait semblé que javais déjà joui très fort cette nuit. Je sentais aussi que mon homme était sur le point déjaculer. Il accélérait encore plus ses va-et-vient dans mon cul et son souffle se faisait de plus en plus haletant. Il cria quil nallait pas tarder à jouir et à minonder de sperme. Tout en continuant de soliloquer, Mouloud accélérait les furieux allers-retours de son sabre dans mon boyau et de ses doigts dans mon vagin.
Ce fut lui qui céda le premier. Jentendis un râle denfer et je sentis comme une brulure à lintérieur de mon cul : la brulure dune première giclée de sperme épais et visqueux. Il continuait de pilonner mon anus pour se vider complètement, en rugissant comme un lion. Je pris la main qui me masturbait et lui fis accélérer le mouvement de manière à ce que limmense orgasme que je sentais débouler en moi, arrive au moment même où Mouloud aura fini déjaculer. Et je tombais en tournoyant
dans un immense puits de jouissance. Je me sentais sortir de mon corps, pourrejoindre le monde merveilleux du plaisir sexuel. Ce que je ressentais dépassait de loin tout ce que javais ressenti jusque là. Je hurlais que jétais entrain de jouir ! (comme si ce nétait pas visible et que cela ne sentendait pas !) Je criais que je voulais recommencer toute de suite après !
- En-3âwdou en-nikou ! Goul-li ett-3awed et-nik-ni ! hak-dha melour ! Es-dheffir ! Seg khouzzidh ! (Nous recommencerons de niquer ! Dis-moi que tu recommenceras de me niquer ! Comme cela, par derrière ! Par derrière ! Par le cul !)
Et, vaincue par la fatigue, je maffalai, fourbue sur le lit, entraînant mon homme avec moi.
Mouloud resta un long moment sur mon dos, son membre toujours en forme, planté dans mon anus. Je sentais quil en voulait encore. Plus que moi qui étais vraiment fourbue et qui avait mal partout. Mais je ne voulais pas en rester là : je me disais que le désir de mon homme nétait pas totalement assouvi et que je me devais de rester à sa disposition. Dailleurs, cétait exactement ce quil pensait. Je restais sa chose sa kelba (sa chienne), me dit-il. En sortant sa queue, toujours en érection, il se remit debout au bord du lit, me retourna pour que je lui fasse face, et mordonna de
venir sucer sa queue, pleine de mes sécrétions anales.
- Lahssi-li zebi ! Ghaslih be-foumek ! (Lèche-moi le zob ! Lave-le ave ta bouche !)
Jeus une hésitation à obéir à un tel ordre. Il ne me demandait rien de moins que de sucer et avaler mon caca. Mais en voyant son regard qui devenait sombre, je compris quil ne plaisantait pas et quil me fallait en passer par là. Vaincue et soumise, je me mis à nettoyer la superbe queue de Mouloud avec ma langue. Javalai - avec un peu de dégout au départ, puis de plus en plus consciencieusement- tout ce que ma langue ramassait sur le mât de mon homme, entre le reste de foutre et les produits de mon cul. De temps en temps, je levai la tête et jetait un regard inquiet sur le visage de Mouloud pour voir sil appréciait. Il souriait aux anges ! Il était heureux ! Il adorait ce que jétais entrain de lui faire ! Jétais sa chienne obéissante et il adorait ça ! Et moi aussi jaimais cette situation avilissante pour moi ! Jétais vraiment devenue sa chose ! Il pouvait faire de moi tout ce quil voulait. Je crois mais je ne lui dis jamais que sil mavait demandé daboyer, je laurais fait sans hésiter.
Pour lui démontrer que jétais à lécoute du moindre de ses désirs, jouvris très grand ma bouche et y fis pénétrer la queue pour une nouvelle fellation. Dune part je voulais finir de nettoyer complètement lengin et je ne trouvais pour cela rien de mieux quune pipe, et dautre part, je voulais quil jouisse encore une fois. Mouloud accepta le cadeau que je venais de lui faire sans quil nait eu à me le demander et me laissa mener la fellation à mon rythme et à mon goût. Il ne me fallut pas plus de deux minutes pour lentendre rugir et pour recevoir une giclée de sperme à lintérieur de ma bouche. Le jus nétait plus aussi abondant et épais que les autres fois. Cette fois-ci javalais le tout. Je sortis lengin de ma bouche il avait complètement ramolli et, fière comme si je venais daccomplir un exploit, je levai la tête pour regarder mon homme dans les yeux et lui envoyai un sourire éclatant en lui demandant :
- Et hab-ni ? (Tu maimes ?)
- Hemlagh-kem ! En-habek ! (Je taime !)
Rassurée, je mendormis presque immédiatement après cette déclaration damour. Je dormis comme une buche pendant quelques heures, avec Mouloud à mes côtés. Je me réveillais très tôt le matin. Cétait comme si je sortais dun épais brouillard. Je mis un long moment pour reprendre complètement mes esprits et me remémorer tout ce que javais fait pendant la nuit. Et devinez ce qui mavait le plus frappé au réveil ! Je venais de me rappeler que Mouloud mavait baisé de partout, sauf par ma chatte ! Avouez tout de même que cest assez exceptionnel de penser à ce détail, alors que je venais de passer une nuit complètement folle. Tout ce qui me venait en tête, cétait que mon amant ne mavait pas encore possédée par devant.
Je venais de faire une nouvelle fixation. Il me fallait absolument réveiller mon amant, qui dormait à poings fermés à mes côtés et lobliger à me tirer encore une fois. Je voulais sentir son zob me défoncer la chatte. Comme je nosais pas le réveiller brutalement, je me mis à embrasser doucement sa poitrine velue et nue. Je promenais lentement mes lèvres et ma langue sur ses tétons et entre ses mamelons. Je descendis jusquà son nombril que je titillais avec le bout de ma langue. Jespérais
ainsi réveiller son désir et le faire bander à nouveau. Je voulais quil bande ferme. Je voulais voir son sabre se dresser vers le plafond. Je voulais mempaler sur lui. Je ne savais pas sil en était conscient, ou sil était entrain de rêver, mais je pus rapidement admirer le résultat de mes caresses labiales et linguales : je vis le monstre se réveiller lentement. Il grandissait et grossissait à vue dil. Cétait un spectacle divin ! Il fallut moins dune minute pour quil atteigne sa taille normale dérection. Il était maintenant dressé comme le grand mât dun bateau.
Je le pris dans ma main pour le caresser doucement. Je ne voulais pas réveiller lhomme. Je voulais le grimper dans son sommeil. Cétait comme si jallais le violer ! Quel délice ! Rien que dy penser jétais complètement mouillée. Je me mis à califourchon sur les cuisses de Mouloud, qui avait gardé les yeux fermés. Je positionnais ma chatte au dessus de la bête que je sentais frémir dans ma main et lintroduisis entre mes grandes lèvres qui sécartèrent pour laisser passer le gland. Je rabaissai brusquement mon bassin et ma chatte vint sempaler totalement sur le mât.
Cela réveilla totalement Mouloud qui menvoya son sourire de fauve prédateur. Il envoya ses mains pour mattr par la taille et accompagna ainsi le mouvement montant et descendant de ma chatte sur son magnifique zob. Un zob qui remplissait complètement mon vagin. Je me forçais à faire monter très haut mon bassin et à le faire descendre brusquement pour faire pénétrer lengin le plus loin possible. Je fis ainsi une dizaine dallers-retours, avant de donner des signes de fatigue. Mouloud
prit tout de suite le relais. Il me força à maintenir mes hanches immobiles, à une quinzaine de centimètres au dessus de son membre et se mit à pilonner furieusement ma chatte. Cétait merveilleux ! Je sentais le manche aller et venir dans mon tunnel en limant très fort les parois. Et plus il limait, plus il marrachait des cris de plaisir qui devenaient de plus en plus sonores.
Inconsciemment, je métais mise à soliloquer sur le plaisir que me procurait le zob qui prenait possession de ma chatte.
- Nheb zebek fi saouti ! Nheb zebek ! Nheb zboub ! Abouche ! Abouche boughioul ! Abouche iqarihan ! (Jadore ton zob dans ma chatte ! Jadore ton zob ! jadore les zobs ! Zob ! Un zob dâne ! Un zob qui fait mal !)
Je le voyais, en dessous de moi, qui regardait son zob entrer et sortir de mon vagin. Il avait les yeux qui brillaient de plaisir. Il aimait le spectacle quil voyait. Il en bavait même. Et il souriait aux mots quil entendait et qui sortaient presque inconsciemment de ma bouche. Jeus un immense orgasme. Je sentais que je ne contrôlais plus rien ; ma tête partait dans tous les sens ; de ma bouche sortait des litres de bave, qui allaient sétaler sur la poitrine velue de mon maître. Ma respiration était devenue tellement rapide que je me sentais . Le plaisir était tellement intense ! Cétait tellement bon ! Je suivais le cheminement de lorgasme depuis lintérieur de mon vagin, jusquà ma colonne vertébrale en passant par mon bas-ventre, en me faisant la réflexion que jallais mourir de plaisir !
Mouloud, lui ahanait comme un bucheron. Je voyais son visage qui commençait à se figer et ses lèvres qui sétiraient et qui blanchissaient à vue dil. Il était lui-même au bord de lapoplexie. Il allait jouir. Nous allions jouir ensemble. Et effectivement nous poussâmes tous les deux en même temps, un long râle de mourants. Je déchargeai en criant des insanités et en meffondrant sur mon homme. Lui continuait à maintenir mes hanches à la bonne hauteur et pilonnait ma chatte jusquà ce quil termine de tout éjaculer. Je sentais le sperme chaud ressortir de ma chatte et aller sétaler sur le pubis de mon amant. Quand il se vida complètement, il relâcha brusquement mes hanches et je retombais sur lui, la chatte toujours empalée sur son mât qui avait perdu un peu de sa rigidité.
Nous passâmes le reste de la matinée au lit. Je métais levée un moment pour me doucher et préparer un petit déjeuner gargantuesque que nous prîmes au lit. Nous continuâmes de flirter jusque vers midi. Nous refîmes même lamour une dernière fois, plus sagement cette fois-ci. Enfin, cest une manière de parler : parce que le diable dhomme mavait tirée en levrette et à la hussarde. Il déchargea ce qui lui restait de sperme dans mon vagin. Je décidais je ne savais pas encore pourquoi je faisais ça de ne pas me laver et de garder le sperme en moi ; y compris celui qui
ressortit et sétait étalé entre mes cuisses.
Cétait le moment de me lever et de me préparer pour aller chercher Rachid, mon mari, de laéroport. Je le dis à Mouloud, qui accepta de se lever, se laver, se rhabiller et quitter lappartement. Il me donna rendez-vous pour le surlendemain, mais cette fois-ci, chez un de ses amis. Jacceptais avec empressement, tout en me posant la question sur la réaction de mon mari quand je lui raconterai ce que je venais de faire et ce que je projetais de faire le surlendemain. Je me disais que rien, absolument rien pas même le refus catégorique de mon mari ne pouvait mempêcher de continuer mes nouvelles expériences érotiques. Je venais de découvrir le monde merveilleux du plaisir sexuel sans bornes et il nétait pas question que je le quitte comme cela. Je voulais revoir Mouloud et faire la connaissance de ses amis et connaître dautres expériences sexuelles, qui memmèneront au septième ciel.
Je retrouvais Rachid, juste à lheure, dans laérogare. Il menvoya de loin un sourire rayonnant le sourire quil avait toujours quand il était heureux et membrassa tendrement sur les deux joues, dès quil arriva devant moi. Jétais un peu gênée, ne sachant pas trop quoi lui dire. Il ne mavait jamais réellement dit quil voulait que je le fasse cocu (sauf au téléphone la pendant la journée précédente) et maintenant quil lest vraiment devenu, comment allait-il prendre la chose ?
- Tu as passée une bonne nuit ?
- Excellente !
- Avec Mouloud ?
- Oui !
- Ça a été bien ?
- Oui !
- Tu me raconteras ?
- Plus tard.
Nous nen dîmes pas plus, tout au long du trajet. Mais je sentais que Rachid me regardait dun air bizarre. Non pas que je sentais un quelconque mécontentement chez lui il me semblait bien que cétait le contraire quil montrait mais il y avait quelque chose de changé dans son comportement.
Un peu comme sil était curieux de voir ce qui avait changé en moi. Mais il ne me demanda rien jusquau moment où nous rejoignîmes la maison. Il déposa son sac de voyage devant la porte dentrée et me prit la main pour memmener vers le canapé du salon. Il sassit le premier et me fit assoir à côté de lui.
- Tu as aimé te faire tirer par un autre homme ? Tu en as éprouvé beaucoup de plaisir ?
-
- Naie pas peur, je ne suis pas du tout mécontent ; ni jaloux. Je veux seulement savoir si tu as été heureuse de me faire porter des cornes ? Si tu as pris beaucoup de plaisir à te faire tirer par un homme exceptionnellement membré. Si tu as aimé sa manière de te tirer. Si tu es devenue accro au sexe. Si tu comptes continuer sur cette voie. Si tu te sens lâme dune pute.
- Pourquoi tu veux que je devienne une pute ? Un qahba ? Une femme qui cherchera à se faire tirer par tous les hommes quelle rencontrera ?
- Oui ! Je voudrais que chaque jour tu aies un amant - ou même plusieurs - que tu prennes ton pied avec lui ou avec eux et que tu me reviennes le soir me raconter et moffrir à mon tour un peu de bonheur. Tu veux ? Dis-moi oui !
- Oui ! Dailleurs après-demain, jai encore rendez-vous avec Mouloud, qui doit me présenter à son groupe. Il parait quils ne vivent que pour, et par, lamour libre.
Bizarrement, je venais de faire connaissance du nouveau Rachid. Un Rachid, complètement différent de celui qui avait été mon mari pendant vingt-cinq ans. Un mari qui se découvrait une vocation de cocu et qui adorait cette situation. Dailleurs ce jour là, il me démontra à quel point il était content de moi. Il me fit lamour, comme jamais il ne me lavait fait auparavant. Il me fit même jouir ! Une vraie jouissance damant et de maîtresse ! Pas de mari et de femme ! Je crois que ce qui avait déclenché lexcitation paroxysmique de Rachid, cétait lodeur de sperme que javais encore sur moi.
Cétait du moins comme cela quavaient commencé nos ébats ce jour-là.
- Il y a en toi comme une odeur bizarre de sperme, me dit-il en membrassant.
- Cest vrai, je nai pas eu le temps de me doucher ce matin. Jai gardé ma chatte avec le sperme quavait éjaculé Mouloud. Je vais me doucher tout de suite.
- Ah non ! Certainement pas ! Je veux voir ! Je veux toucher ! Je veux lécher !
Et cest comme cela que mon mari me fit un super cunnilingus qui me transporta au paradis. Il me fit jouir comme une folle, en me suçant la chatte encore pleine du sperme de mon amant de la nuit. Il se permit même de menculer et de réveiller la douleur du brutal dépucelage de la veille et de jouir dans mon cul en criant quil madorait et quil adorait me baiser à la suite de mes amants.
Et cest comme cela quaujourdhui encore je me comporte en vraie pute, en offrant mon corps à toutes sortes damants, qui me donnent chaque fois un plaisir sexuel toujours renouvelé. Et que chaque fois, en rentrant le soir, joffre à mon mari mon corps « sali » par mes amants et dont il tire un maximum de plaisir érotique.
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